À lire pendant les vacances, mais pas seulement
La Tendresse des Séquoias – une enquête glaçante d’une invention stupéfiante : Jacques Franck, ancien directeur de rédaction de La Libre, vous explique dans les pages Lire du 23/5/16 pourquoi le premier roman de Jean-Sébastien Poncelet vous convaincra.
Primo : il se déroule à Bruxelles. « Une jolie façon de ne pas délocaliser un roman comme on délocalise une usine de montage d’automobiles. »
Deuzio : en parlant de montage, « celui d’épisodes apparemment sans liens entre eux est d’une grande habileté. »
Tertio : des (nouvelles) références culturelles adroitement introduites. Felice Varini et les Pink Floyd, cela vous dit quelque chose ?
Quarto : un dénouement rien moins que dévastateur…
A cela, nous ajouterions ceci : la découverte d’un jeune écrivain belge prometteur dont on n’a pas fini d’entendre parler !