Récit intimiste sur la mère
Brise de mère, un livre grave non dépourvu d’humour
Brise de mère, un livre grave non dépourvu d’humour
« Les superlatifs sont des faux-amis et les envoyer à l’avant-garde n’est pas un cadeau mais quand on a sous les yeux un texte de cette qualité, il faut seulement admettre qu’il nous cloue sur place, nous coupe le souffle et s’impose pour ce qu’il est : un chef d’œuvre. Oh ! je sais bien, le mot est galvaudé. On l’a vidé de son sens. Et bien je mets mon billet que ce texte, L’Enfance unique, de Frédéric Saenen (Weyrich, collection Plumes du coq), pour peu qu’on lui donne l’écho qu’il mérite, va rester, non seulement dans la littérature belge, mais au-delà.
Je hais la littérature auto-centrée (…) Écrire, c’est témoigner (…) Faire émerger le collectif derrière les histoires personnelles. Ainsi s’explique Jean-François Füeg au terme de cette chronique familiale et comme ces annales personnelles pour évoquer le milieu bourgeois, étriqué et conformiste dont il provient et cette cellule parentale se considérant modèle absolu de la réussite, idéal indépassable où tout était un peu mieux que dans les autres familles.
« Est-ce que j’ai trahi ou abandonné l’enfant que j’étais ? »
À l’occasion des 185 ans de la monarchie belge, le Soir Mag et les éditions Weyrich se sont associés pour lancer un nouveau concours : le prix « Bonnes nouvelles ». Consacré au thème de la monarchie sous toutes ses formes, ce nouvel événement a séduit pas moins de 89 candidats au titre de lauréat. Des 89 nouvelles reçues, 14 ont en effet été sélectionnées pour être éditées au sein d’un recueil paru cette semaine.
Deux nouveaux titres viennent compléter la collection littéraire de la maison Weyrich.
La Tendresse des Séquoias – une enquête glaçante d’une invention stupéfiante : Jacques Franck, ancien directeur de rédaction de La Libre, vous explique dans les pages Lire du 23/5/16 pourquoi le premier roman de Jean-Sébastien Poncelet vous convaincra.
Le Carnet et les Instants, la Revue des Lettres belges francophones éditée par le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, consacre un bel article au roman de Jean-Jacques Vander.
Les fêtes de fin d’année approchent à grands pas. Le froid s’installe doucement dans nos chaumières et quelle meilleur occupation que lire un bon roman au coin du feu ?
L’écrivain André-Joseph Dubois présente son 5ème roman, Ma Mère, par exemple, dans lequel il convie le lecteur à traverser le XXème siècle de sa mère, de la Belle Époque à nos jours.
Nouvelle parution chez les « Plumes du Coq », L’Envers des pôles plonge la collection des Éditions Weyrich dans un univers totalement innovant et déroutant.
En 2011, l’écrivain Armel Job participe à la création des « Plumes du Coq » des Éditions Weyrich, grâce à la réédition de son roman La Malédiction de l’abbé Choiron, l’un des premiers titres de la collection.
Cette année encore, les Godefroid (en collaboration avec la Province de Luxembourg) récompenseront les talents luxembourgeois dans six domaines différents : Sport, Culture, Économie, Social, Jeune et Développement durable.
C’est dans les années 1990 qu’Éric Lammers a découvert l’écriture, alors qu’il était détenu en prison. Aujourd’hui libre, il revient sur ses années de détention, avec un recueil de cinq nouvelles, qui ne sont en réalité qu’une infime partie des milliers de pages produites pendant cette période.
En 2013, Jean Jauniaux obtenait le Prix Auguste Michot pour L’année dernière à Saint-Idesbald : un recueil qui met en valeur les beautés de la Flandre. Suite à son beau succès, il est aujourd’hui republié par notre maison d’édition.
En 16 février 2014, l’auteur Alain Bertrand nous quittait. Il dirigeait avec enthousiasme et talent la belle collection Plumes du Coq qu’il avait lancé avec la complicité de Christian Libens et Olivier Weyrich. Depuis son départ, sa collection n’a cessé de prospérer. Plusieurs romans ont été primés, plusieurs auteurs ont brillé dans des finales de concours prestigieux et de nouveaux talents sont venus renforcer des rangs déjà illustres.