Un tour de manège les cheveux au vent, le sourire aux lèvres – Le Carnet et les Instants
Le roman de Ziska Larouge est au cœur d’une nouvelle publication dans Le Carnet et les Instants.
Le roman de Ziska Larouge est au cœur d’une nouvelle publication dans Le Carnet et les Instants.
Le roman de Danièle Henky, Baptêmes du feu, a reçu une critique très élogieuse sur Babelio. Extrait…
Le roman de Jean-François Füeg est au cœur d’une nouvelle publication dans Le Carnet et les Instants.
Découvrez la critique de Baudouin Delaite consacrée au roman de Danièle Henky, Baptêmes du feu.
Nouvelle sortie dans la collection Plumes du Coq, le roman de Danièle Henky bénéficie d’une préface signée par un autre passionné du poète Guillaume Apollinaire, Christian Libens.
Ce terme bruxellois désignant un empoté est le titre du roman de Thierry Robberecht, dont le jeune héros sans père se cherche dans les années 60.
Philippe REMY-WILKIN signe un article élogieux pour le site Karoo sur Le Printemps du livre, événement littéraire organisé le 27 novembre dernier.
Le roman de Luc Templier est au cœur d’une nouvelle publication dans Le Carnet et les Instants.
Article signé Thierry Detienne pour Le Carnet et les Instants.
Un roman sur le thème de la personnalité, de l’identité, dans lequel le héros entame une quête folle : que reste-t-il de nous, et du Moi, lorsque l’on a retiré, un à un, tous les superflus ? Un livre où se mêlent la gravité et l’humour, dans une histoire surréaliste qui se déroule entre Paris et Bruxelles.
Article signé Philippe Remy-Wilkin pour Le Carnet et les Instants.
« Le Traceur de lignes », revu et augmenté, ou l’histoire d’un homme en déroute. Avec un clin d’oeil d’Amélie Nothomb. À (re)lire !
Article signé Thierry Detienne pour Le Carnet et les Instants.
Brise de mère, un livre grave non dépourvu d’humour
« Les superlatifs sont des faux-amis et les envoyer à l’avant-garde n’est pas un cadeau mais quand on a sous les yeux un texte de cette qualité, il faut seulement admettre qu’il nous cloue sur place, nous coupe le souffle et s’impose pour ce qu’il est : un chef d’œuvre. Oh ! je sais bien, le mot est galvaudé. On l’a vidé de son sens. Et bien je mets mon billet que ce texte, L’Enfance unique, de Frédéric Saenen (Weyrich, collection Plumes du coq), pour peu qu’on lui donne l’écho qu’il mérite, va rester, non seulement dans la littérature belge, mais au-delà.
Je hais la littérature auto-centrée (…) Écrire, c’est témoigner (…) Faire émerger le collectif derrière les histoires personnelles. Ainsi s’explique Jean-François Füeg au terme de cette chronique familiale et comme ces annales personnelles pour évoquer le milieu bourgeois, étriqué et conformiste dont il provient et cette cellule parentale se considérant modèle absolu de la réussite, idéal indépassable où tout était un peu mieux que dans les autres familles.
« Est-ce que j’ai trahi ou abandonné l’enfant que j’étais ? »