Un « onnuzel » à Molenbeek / L’Avenir, jeudi 3 janvier 2019
Ce terme bruxellois désignant un empoté est le titre du roman de Thierry Robberecht, dont le jeune héros sans père se cherche dans les années 60.
Ce terme bruxellois désignant un empoté est le titre du roman de Thierry Robberecht, dont le jeune héros sans père se cherche dans les années 60.
Philippe REMY-WILKIN signe un article élogieux pour le site Karoo sur Le Printemps du livre, événement littéraire organisé le 27 novembre dernier.
Le roman de Luc Templier est au cœur d’une nouvelle publication dans Le Carnet et les Instants.
Article signé Thierry Detienne pour Le Carnet et les Instants.
Un roman sur le thème de la personnalité, de l’identité, dans lequel le héros entame une quête folle : que reste-t-il de nous, et du Moi, lorsque l’on a retiré, un à un, tous les superflus ? Un livre où se mêlent la gravité et l’humour, dans une histoire surréaliste qui se déroule entre Paris et Bruxelles.
Article signé Philippe Remy-Wilkin pour Le Carnet et les Instants.
« Le Traceur de lignes », revu et augmenté, ou l’histoire d’un homme en déroute. Avec un clin d’oeil d’Amélie Nothomb. À (re)lire !
Article signé Thierry Detienne pour Le Carnet et les Instants.
Brise de mère, un livre grave non dépourvu d’humour
« Les superlatifs sont des faux-amis et les envoyer à l’avant-garde n’est pas un cadeau mais quand on a sous les yeux un texte de cette qualité, il faut seulement admettre qu’il nous cloue sur place, nous coupe le souffle et s’impose pour ce qu’il est : un chef d’œuvre. Oh ! je sais bien, le mot est galvaudé. On l’a vidé de son sens. Et bien je mets mon billet que ce texte, L’Enfance unique, de Frédéric Saenen (Weyrich, collection Plumes du coq), pour peu qu’on lui donne l’écho qu’il mérite, va rester, non seulement dans la littérature belge, mais au-delà.
Je hais la littérature auto-centrée (…) Écrire, c’est témoigner (…) Faire émerger le collectif derrière les histoires personnelles. Ainsi s’explique Jean-François Füeg au terme de cette chronique familiale et comme ces annales personnelles pour évoquer le milieu bourgeois, étriqué et conformiste dont il provient et cette cellule parentale se considérant modèle absolu de la réussite, idéal indépassable où tout était un peu mieux que dans les autres familles.
« Est-ce que j’ai trahi ou abandonné l’enfant que j’étais ? »
À l’occasion des 185 ans de la monarchie belge, le Soir Mag et les éditions Weyrich se sont associés pour lancer un nouveau concours : le prix « Bonnes nouvelles ». Consacré au thème de la monarchie sous toutes ses formes, ce nouvel événement a séduit pas moins de 89 candidats au titre de lauréat. Des 89 nouvelles reçues, 14 ont en effet été sélectionnées pour être éditées au sein d’un recueil paru cette semaine.
Deux nouveaux titres viennent compléter la collection littéraire de la maison Weyrich.
La Tendresse des Séquoias – une enquête glaçante d’une invention stupéfiante : Jacques Franck, ancien directeur de rédaction de La Libre, vous explique dans les pages Lire du 23/5/16 pourquoi le premier roman de Jean-Sébastien Poncelet vous convaincra.