« Vade retro, Félicien ! » : une chronique d’Apolline Elter

« Eloi Taminiaux avait réalisé une petite merveille, transformant la cave de son bureau en un atelier d’artiste ».

Spécialiste, passionné de l’oeuvre de Félicien Rops (1933-1898) – artiste protéiforme, et …génie épistolaire cher à votre site préféré – Eloi Taminiaux est retrouvé assassiné, par « une venteuse soirée de janvier ».

Transpercé par une épée, cadavre organisé en une mise en scène ropsienne du plus macabre effet ….

C’était pourtant un vieil et amène professeur d’histoire.. sans histoires , tout tendu de réaliser la biographie de son idole

Il venait de faire main basse sur sur un document extraordinaire : l’ébauche d’un roman d’autant plus inédit de Rops que ce dernier n’en avait publié aucun… et avait contacté le bouquiniste Stanislas Barbérian, spécialiste de l’artiste aux fins de l’authentifier.

Las, Eloi ne se présente pas au rendez-vous .. et pour cause.

Stanislas se prête illico et avec une efficacité redoutable à l’enquête menée par la police judiciaire

Alerte, bien ficelé et pétri d’une solide connaissance de l’ami Fély, ce polar en tous points sympathique, invite de surcroît le lecteur à une pittoresque balade à travers Namur

A déguster sans modération

Apolline Elter pour « Le pavillon de la littérature », à lire ici :

« Vade retro, Félicien! » est disponible en librairie et sur notre e-shop :

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