Le mensonge, c’est un cancer !
Après son roman Outre-mère, Dominique Costermans publie Un conteur hors père, elle poursuit son questionnement sur la transmission. Baudouin Delaite la rencontrer pour vous.
Baudouin Delaite : – Dominique Costermans, vous vous êtes d’abord fait connaître essentiellement comme nouvelliste. Une discipline exigeante où votre talent fait aujourd’hui l’unanimité. Vous ne laissez pas de côté pour autant le roman, un registre différent mais aussi difficile. Dans la collection Plumes du Coq, après le recueil de nouvelles “Les Petits plats dans les grands”, vous avez édité deux romans, Outre-Mère et, maintenant, Un conteur hors père. D’où vous vient cette passion pour l’écriture ?



















